Vous êtes chef d'entreprise ? Alors, un jour ou l'autre vous devrez répondre à l'une de ces questions
Pourquoi est-ce arrivé ?
Comment atteindre ce résultat ?
Combien cela vaut-il ?
Ces questions couvrent le large spectre des 3 types d'études économiques et sociales.
Analyse du passé et suivi des indicateurs de performance
La question “pourquoi est-ce arrivé ?” est relative à l’analyse du passé. Elle regroupe toutes les études utilisant les données de la comptabilité, de la gestion du personnel et des autres départements de l’entreprise pour trouver les causes des résultats présents. Diagnostiquer la situation actuelle, c’est déjà se donner les moyens d’améliorer la situation future. De plus, si le suivi d’indicateurs pertinents, fiables et réguliers est mis en place, il est possible d’anticiper certains événements.
Quelques exemples d’études et d’analyse de la performance passée :
- étude financière
- étude des coûts de production, d'expédition, de commercialisation
- étude de la rentabilité par produit ou par domaine d'activité
- étude du risque social, fiscal, actionnarial, sociétal
- conception de tableau de bord
- conception de reporting opérationnel
Regardez ici l’offre détaillée de Manao sur l’analyse et le suivi des périodes passées
La liste des études sur la situation passée peuvent couvrir tous les sujets permettant d’obtenir des informations chiffrées. Toutefois dans la pratique, la majeure partie des études portent sur les sujets présentés ci-dessous.
Cette liste n’est pas exhaustive. MANAO étudie toutes les demandes qui lui sont faites. Si elle a la compétence, elle vous proposera une étude. Dans le cas contraire elle vous redirigera vers le cabinet d'un confrère spécialisé sur le sujet. Enfin elle pourra vous proposer une solution mixte en partageant la mission avec un expert spécialisé.
Études financières ou plans de trésorerie prévisionnels
Les études financières ont toutes pour objectif la gestion prévisionnelle globale de la trésorerie. Il s'agit de mesurer la variation de trésorerie liée aux prévisions d'évolution de l'entreprise. Puis de déterminer le besoin de financement pour équilibrer le plan de financement prévisionnel. Ensuite sur la base d'hypothèses de financements long termes, comme un prêt bancaire par exemple, il faut actualiser le plan de trésorerie prévisionnel. Enfin il faut vérifier l'équilibre de la trésorerie au long de la période sur laquelle on se projette. En cas d'impasse de trésorerie, il faudra soit augmenter les fonds stables de l'entreprise, soit mettre en place des crédits courts termes dont le coût, après intégration dans le plan de trésorerie, ne mettra pas à nouveau l'entreprise dans une nouvelle impasse de trésorerie.
S'il n'y a qu'une seule étude à faire dans une entreprise, c'est bien le plan de trésorerie prévisionnel. Le plan de trésorerie prévisionnel est souvent une leçon d'humilité car il montre aux dirigeants les limites de leurs idées, de leurs stratégies et tout simplement de leurs moyens. Il les oblige à se remettre en cause, à trouver des alliances, des partenariats ou à renoncer à des croissances prestigieuses en chiffre d'affaires, mais qui peuvent parfois tragiquement virer à l'état de cessation de paiement.
Étude des coûts de production, d'expédition, de commercialisation
L'analyse des coûts consiste à mixer des informations comptables et des informations liées à l'activité : temps passé, nombre de rotation, personnel impliqué, taux de chute, etc. Il faut déterminer la part des charges fixes et la part des charges variables liées à l'activité de façon à trouver les seuils de productivité par rapport aux quantités produites. L'objectif étant toujours d'améliorer la productivité, ce sont ces chiffres qui permettent de justifier l'investissement industriel productif. Par exemple, il est important de savoir qu'en dessous de tel seuil de nombre de pièce produites, il n'est pas nécessaire d'automatiser une production. Ou bien au contraire que 50 % du coûts et des pertes proviennent d'une étape de production et qu'à partir de 100 pièces produites par jour, l'investissement sur une machine permettrait de réduire le coût unitaire de production de 20 %.
En résumé, les calculs de coût permettent de sortir des à priori et des idées reçues pour prouver de façon réaliste le coût réel à chaque étape du cycle économique d'un produit, d'un service ou d'une activité. L'analyse des coûts est la base de travail sur l'amélioration de la productivité et la qualité.
Étude de la rentabilité par produit ou par domaine d'activité
Les études de rentabilité vont plus loin que les études de coûts dont elles sont le prolongement naturel. Il s'agit de répondre à la question qui taraude toutes les Directions Générales : "est-ce rentable ?". Une fois que les coûts inhérents à la production, la logistique et la commercialisation sont connus, il faut ajouter tous les frais indirects : les frais généraux, de direction et de marketing. Puis séparer ces coûts en charges fixes et charges variables. Cela permettra de déterminer le point mort. C'est à dire le nombre de ventes à partir duquel l'entreprise couvre la totalité de ses charges fixes et variables sur ce produit et commence à gagner de l'argent avec ce produit.
Les études de rentabilité ont de nombreuses vertues. La première est de fixer les objectifs de vente minimum par produits, services ou activité. Elle permettent de se comparer sérieusement à la concurrence et d'établir une tarification cohérente. Elles servent de base pour établir une stratégie générale commerciale. Ainsi, une entreprise maîtrisant la rentabilité de ses produits et services peut accepter de continuer à vendre à perte un service complémentaire à un produit à forte marge car elle sait que ce service est le déclencheur des ventes et que la rentabilité combinée des deux est largement positive.
Étude du risque de production, social, sociétal
Parfois un risque mal évalué, et mal couvert conduit à des pertes brutales pouvant ruiner la rentabilité d'une entreprise. C'est pourquoi l'entreprise doit cartographier les risques qu'elle encourt, évaluer leurs coûts et conséquences, mettre en place une politique pour les écarter le plus possible et dans la mesure du possible se préparer à cette éventualité. Bien entendu "à l'impossible nul n'est tenu", mais malgré tout, même les crises majeures, comme une crise sanitaire, doivent être envisagées.
On distingue quatre types de risques majeurs. Tout d'abord les risques liés au cycle de la production. Ils sont variés sur la base de quelques questions simples : "Qu'est-ce qui peut freiner ou arrêter la production et dans quelles proportions ?", "quelle est la durée possible de l'événement ?" "quelles sont les conséquences financières de l'évènement ?".
Le risque social est important. Il y a souvent une imbrication entre les risques sociaux et de production : un service logistique en grève peut déboucher sur l'arrêt d'une usine". L'évaluation des risques sociaux doit être vu de façon plus large. Par exemple, l'absence de mise à niveau technique du personnel par une politique de formation permanente peut réduire la productivité, la qualité ou les délais de production, de logistique et de vente.
Depuis que nous avons pris conscience de l'importance de la nature, il est indispensable d'évaluer les risques de pollution et de destruction de l'environnement à long terme. Sans tomber dans la paranoïa, ni une culpabilité destructrice de nos sociétés, il est devenu indispensable de se remettre en cause dans notre rapport à la nature. Comment réduire tous les émissions négatives, les déchets polluants, etc ? Pour cela, il est nécessaire d'étudier sujet par sujet, avec un conseil extérieur travaillant pour le compte de l'entreprise et pas comme un juge, la meilleure façon d'améliorer les processus un à un en commençant par les plus polluants. L'idéal est d'écrire un plan d'actions réalistes dans une durée acceptable pour atteindre des objectifs précis.
Conception de tableaux de bord
L'ensemble des études ci dessus conduisent naturellement les chefs d'entreprises à mettre en pratique un certain nombre de recommandations. Afin de suivre les résultats et surveiller en permanence la performance de l'entreprise, la mise en place de tableaux de bord est indispensable. La création de tableaux de bord passe par la détermination des indicateurs clés, la fréquence de leur production et leur diffusion au sein de l'entreprise.
Conception de reporting opérationnels
Le reporting opérationnel comprend les tableaux de bord et une analyse qualitative synthétique des résultats obtenus. Il permet de joindre aux chiffres bruts des tableaux de bord et des ratios, des explications permettant d'indiquer les causes du résultat et de comprendre comment on en est arrivé là. Le reporting opérationnel permet de constater l'écart entre la vision stratégique théorique et la réalité du terrain. L'accumulation des rapports opérationnels permet aux chefs d'entreprises de vérifier la pertinence de leur analyse théorique et éventuellement d'infléchir leur stratégie.
Projections dans le futur
La question “comment faire pour atteindre ce résultat ?” est tournée vers l’avenir. Il faut déterminer de façon réaliste où l'entreprise arrivera à partir d’hypothèses. Le résultat obtenu permettra de prendre des décisions d’actions.
Mais être réaliste est un exercice périlleux car les hypothèses reposent en partie sur des visions incertaines de l’avenir. La définition d'hypothèses réalistes nécessite une excellente connaissance du métier, du secteur d’activité et de l’évolution économique global du pays sachant qu’une pandémie peut ruiner de nombreuses prédictions !
Quelques exemples d’études prévisionnelles :
- Business Plan
- Plan de développement d’un secteur, d’une branche, d'un marché
- Budgets par divisions ou services internes de l’entreprise
- stratégie de financement pour gérer la croissance de l’activité, les investissements
- Définition d’un nouveau modèle économique
- élaboration d’une stratégie de partenariat public/privé
- Études financières particulières
Regardez ici l’offre détaillée de Manao sur les études prévisionnelles
Il est possible de réaliser des études et des projections dans tous les domaines intéressant l’entreprise. MANAO s’est spécialisé dans les études liées à la finance, la gestion et l'évolution de la masse salariale. La liste ci-dessous présentent les études les plus demandées.
Cette liste n’est pas exhaustive. MANAO étudie toutes les demandes qui lui sont faites. Si elle a la compétence, elle vous proposera une étude. Dans le cas contraire, elle vous redirigera vers un cabinet d’un confrère ou un cabinet spécialisé sur le sujet. Enfin elle pourra vous proposer une solution mixte en partageant la mission avec un expert spécialisé.
Business Plan
Projection globale de l’entreprise à 3 ou 5 ans à partir des données actuelles et des prévisions de croissance, d’évolution du marché. L’exercice complet doit déboucher sur le plan de trésorerie et le tableau de financement.
L’objectif est de déterminer des hypothèses réalistes permettant la viabilité financière d’un projet en tenant compte d’une part d’incertitude.
Plan de développement d’un secteur, d’une branche, d'un marché
Il s’agit d’un Business plan limité à une partie de l’entreprise ou tout simplement un nouveau projet.
L’exercice peut-être plus ou moins développé. Soit il consiste à vérifier uniquement la rentabilité d'exploitation du projet et les investissements nécessaires. Soit il s’agit de créer un véritable Business Plan autonome du projet.
Budgets par divisions ou services internes de l’entreprise
Il s’agit généralement d’un exercice annuel dans la perspective de la continuité de l’exploitation.
Les projections d'atterrissage de l’année en cours ont été évaluées avec réalisme autour du 7ème ou 8ème mois de l’exercice en cours. Il faut maintenant préparer l’année prochaine sur la base du plan stratégique de l’entreprise.
Il est nécessaire d’établir le budget des ventes, de la production et des investissements pour les allouer à chaque service concerné dans l’entreprise. Ainsi les Directeurs, cadres et chefs de services auront leurs objectifs et leur feuille de route pour l’année suivante. Il auront un budget attribué avec des limites et une marge de manœuvre.
Cette exercice permet de renforcer la cohésion de l’équipe dirigeante et de préparer l’animation des équipes autour d’objectifs précis pour l’année suivante.
Définition d’un nouveau modèle économique
face à une évolution de la concurrence, des technologies, du métier, du contexte légal ou des pressions sociétales, l’entreprise peut être amené à se remettre en cause radicalement pour s’adapter et parfois ne pas disparaître.
Elle a besoin pour cela qu’un observateur extérieur, sans aucune implication affective dans l’entreprise puisse analyser la situation et produire un diagnostic du modèle économique actuel. Puis il accompagnera l’équipe dirigeante pour l’aider à concevoir un nouveau modèle économique.
Ce travail débouche généralement sur l'écriture d’un plan stratégique de développement à moyen ou long terme. Puis celui-ci débouche sur la rédaction d’un business plan à 3-5 ans.
Stratégie de financement pour gérer la croissance de l’activité, les investissements
Sur la base d’un plan stratégique, généralement exprimé par les actionnaires, les associés ou la Direction Générale, il faut déterminer les impacts financiers des investissements nécessaires et de l’évolution des coûts généraux d'exploitation liés à ce projet.
Puis après une analyse de la situation financière de l’entreprise, d’étudier les différentes solutions de financement. Pour chacune d’elle indiquer les conséquences des choix, analyser le degré de risque pour l’entreprise et les actionnaires ou associés.
Cette analyse doit permettre aux décideurs de choisir la solution qui selon leur critère offre la meilleure adéquation entre le coût du financement, le niveau de risque et la possibilité de repli en cas d’échec ou de réalisation partielle du plan stratégique.
Études financières particulières
Toutes les études présentées ci-dessus, concernent le processus logique de la gestion du développement d’une entreprise et de son adaptation à l’évolution de ses marchés.
En marge de cette vision générale il existe de nombreux cas particuliers ou des études à caractère financier nécessaires soit pour apporter des certitudes, soit de façon préventive à des études plus générales. La question étant souvent : “ et si nous faisons cela ?”
Elaboration d’une stratégie de partenariat public/privé
Il s’agit d’un cas très particulier d’étude nécessitant à la fois une approche financière classique couplée à une approche liée à la gestion de la chose publique. Les projections devront prendre en comptes de nombreux facteurs juridiques et fiscaux imposés par le travail avec les administrations et les contraintes d’un état ou d’une collectivité territoriale.
Évaluations
La question “Combien cela vaut-il ?” est tournée vers la valorisation d’actifs matériels, immatériels et financier à travers la valeur d’une entreprise. L’évaluation peut être globale et concerner l’entreprise dans son ensemble ou partielle pour évaluer une branche d’activité, ou un ensemble d’actifs économiques.
Cet exercice est complexe pour deux raisons. D’une part il existe plusieurs référentiels pour évaluer la valeur d’une entreprise. Cela conduit donc à plusieurs méthodes qui peuvent aboutir à des différence de valorisation importantes. D’autre part la valeur d’une entreprise est différente suivant l’intérêt des acquéreurs. Celui qui achète une entreprise pour éliminer un concurrent ou récupérer son patrimoine immobilier ne l’évalue pas avec les mêmes critères que celui qui depuis 20 ans en a fait un leader dans son domaine.
La bonne évaluation est une fourchette de valeur basée sur une approche réaliste de la situation de l’entreprise et de ses perspectives d’avenir en utilisant plusieurs méthodes. Puis une adaptation du prix, voir du périmètre de cession en fonction de l’intérêt de l’acquéreur...dont il faudra percer les intentions secrètes !
Quelques exemples d’évaluation et d’outils de valorisation d’une entreprise :
- due diligence vendeur
- due diligence acquéreur
- évaluation de l’entreprise selon plusieurs méthodes
- constitution d’une dataroom
- préparation d’un document vendeur de l’entreprise
Regardez ici l’offre détaillée de Manao sur les évaluations
Si vous êtes chef d’entreprise, même salarié, il arrivera un moment ou vous devrez évaluer votre entreprise ou celle que vous souhaitez acheter. Il faudra pouvoir répondre à cette question simple : “combien cela vaut-il ?”
Les raison de cette question sont multiples. Quelques exemples :
- cession d’entreprise pour réaliser sa plus-value et se retirer
- gestion fiscale et patrimoniale d’une succession ou d’une transaction familiale
- achat d’entreprise pour faire de la croissance externe
- entrée de partenaires financiers au capital
- fusion d’entreprises
- obtention de nouveaux financements bancaires
- cession d’entreprise pour recentrage stratégique ou manque de liquidités
Les méthodes financière d’évaluation
Les méthodes d’évaluations sont nombreuses. Elles prendront en compte des paramètres techniques différents comme par par exemple la valeur des actifs ( valeur patrimoniale), la capacité de l’entreprise à générer du cash flow ( méthode par les flux) ou bien la comparaison de l’entreprise par rapport à celles du même secteur ( méthode comparative)
La dichotomie des attentes entre le vendeur et l’acquéreur
Mais cette évaluation, essentiellement financière, n’est pas une science exacte. Il y a généralement dichotomie des motivations entre l’acquéreur et le vendeur. Comme chacun n’accorde pas le même intérêt stratégique aux composantes de l’entreprise, il auront une vision nécessairement différente de sa valeur.
Dans le cas de la cession d’entreprises familiales par leurs créateurs, une composante affective peut fausser ou gêner l’évaluation dans la mesure ou à travers le prix de l’entreprise c’est aussi le travail et la réussite du créateur qui sont évalués.
La fourchette de valorisation
Le but de la valorisation est donc de déterminer une fourchette de valeurs qui servira de base à la négociation. Pour déterminer cette fourchette, l’idéal est d’utiliser plusieurs méthodes financières. Puis d’y ajouter une évaluation la plus objective possible des actifs immatériels comme la part de marché, l’emplacement d’un magasin, la notoriété,etc.
Intérêt de l’évaluation par un expert
Afin de donner le plus d’objectivité possible à l’évaluation, il est préférable de faire appel à un expert en évaluation.
D’une part il analysera le business model, l’organisation de l’entreprise, son environnement, son marché et son secteur d’activité.
D’autre part, il analysera les performances financières historiques de la société et son prévisionnel d’activité en tenant compte des tendances futures du marché sur lequel elle évolue.
L’évaluation d’une entreprise est un cycle d’opérations
Il commence par un audit préalable ou due diligence dont l’objectif est d’évaluer raisonnablement la situation de l’entreprise et de déterminer les risques existants.
Puis il se poursuit par l'évaluation financière de l’entreprise à travers différentes méthodes d'évaluations financières complétées par une évaluation, la plus objective possible des actifs immatériels et des perspectives de l’entreprise sur son marché. Ces travaux devant déboucher sur une fourchette de valeur.
Enfin il se terminera par la rédaction d’un rapport d’évaluation qui présentera :
- la fourchette de valeur trouvée en conséquence
- le contexte dans lequel l’évaluation est opérée
- les travaux effectués,
- les limites éventuelles de l’étude
- les méthodes d’évaluation retenues,
- la justification des hypothèses retenues dans la mise en œuvre des méthodes d’évaluation
- une synthèse des calculs avec renvoi des détails de calcul en annexe
L’offre de Manao
Nous vous proposons trois prestations
Due diligences vendeur et acquéreur
Il s’agit d’effectuer un ensemble de vérifications avant transaction pour évaluer raisonnablement la situation de l’entreprise. C’est une mesure de précaution, préalable à l’évaluation de l’entreprise. Dans ce travail, la découverte et la quantification des risques de toute nature est important.
La due diligence vendeur est commandée par le cessionnaire. Il en a besoin comme base pour son évaluation de l’entreprise. Il peut aussi la remettre à l’acquéreur potentiel pour prouver sa bonne fois et l’absence de risques non contrôlés.
La due diligence acquéreur est commandée par le futur acquéreur, les motifs sont les mêmes. Il veut se rassurer par lui même qu’il n’y aura pas de mauvaise surprise.
Évaluation de la valeur d’une entreprise
une fois la due-diligence réalisée, il faut évaluer l’entreprise en prenant en compte toutes les composantes :
- évaluation de la position de l’entreprise sur son marché
- attractivité du secteur de l’entreprise
- rédaction d’un rapport d’évaluation
- évaluation financière selon différentes méthodes
- prise en comptes des actifs immatériels
- calcul d’une fourchette de valeurs
Constitution d’une dataroom
Préparation de l’accès sécurisé des données de l’entreprise sur une base de données en ligne sécurisée.
Rédaction du dossier de présentation de l’entreprise à vendre
Deux dossiers sont souvent rédigés :
Un dossier synthèse
Il permet une première entrée en matière lorsqu’un acquéreur potentiel manifeste un intérêt. Ce dossier doit donner envie d’aller plus loin si le contenu de la cession correspond à l’intérêt de l'acquéreur potentiel.
Un dossier détaillé
Il est généralement remis après la signature d’un engagement de confidentialité. Il présente l’entreprise en détail :
- cades et richesses humaines
- activité
- ventes et positionnement sur le marché
- production et savoir faire technologiques
- organisation de l’entreprise
- actifs fonciers et matréiels
- situation financières
- engagements
- risques éventuels en tout domaines
Assistance à la négociation
Une fois l’évaluation réalisée, Manao propose au vendeur ou à l’acquéreur une assistance à la négociation. Cette prestation est totalement adaptée aux besoins exprimés par le demandeur. Elle fait donc l’objet d’une contrat spécifique qui décrira les travaux attendus.
En demander à être mis en relation avec un responsable du département Conseil et assistance en gestion.